Immobilier tertiaire : comment réussir toutes les rénovations ?
Nombreux sont ceux qui engagent ou prévoient des rénovations, mais qu’est-ce qu’une rénovation réussie ?
Acteurs publics et privés de l’immobilier s'accordent sur l'importance urgente de rénover. Sans rénovation, la France ne pourra atteindre la neutralité carbone en 2050. Bien que l'attention se porte souvent sur les logements, l'immobilier tertiaire (non résidentiel) joue un rôle clé. L'État prévoit que l'immobilier devra contribuer à un tiers de l'effort pour réduire les émissions de la France d'ici 2030, avec 40 % de cet effort provenant du secteur tertiaire.
Malgré la conjoncture difficile, l'inflation et les taux d'intérêt élevés, il est crucial de rénover pour éviter la vacance des immeubles, l'obsolescence, et la perte de valeur. Les bureaux, en particulier, sont exposés aux nouveaux modes de travail et aux attentes des collaborateurs, rendant les rénovations prioritaires pour de nombreux investisseurs immobiliers.
Si le mouvement de rénovation est général, il englobe une grande diversité d’opérations. Quatre grands objectifs définissent quatre types de rénovation :
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Réaménagements intérieurs : Améliorer la qualité de vie des utilisateurs et l'efficacité des entreprises.
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Rénovations énergétiques : Réduire les consommations et les factures d'énergie pendant l'exploitation du bâtiment.
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Rénovations bas carbone : Réduire les émissions de carbone de la construction et de l'exploitation du bâtiment.
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Rénovations globales : Améliorer le bâtiment dans toutes les dimensions du développement durable, y compris la qualité de vie, la préservation de l'environnement et la performance économique. Cela inclut les rénovations avec extension, changement d'usage et alignement avec la Taxinomie verte de l'UE.
Devant l’urgence de la transition écologique, il est temps de promouvoir des rénovations efficaces, globales et dont les résultats sont attestés par un tiers de confiance. Une rénovation performante doit satisfaire un ensemble d'exigences avec une approche globale incluant la santé et le confort des utilisateurs.
Il n’existe pas de critère unique pour toutes les rénovations. Une rénovation doit intégrer l'économie d'énergie, le bas carbone, l'économie circulaire, la biodiversité, l'adaptation au changement climatique, et la qualité de vie au travail. L'adaptation au changement climatique, par exemple, est essentielle face aux événements climatiques visibles comme les inondations et les canicules.
Certaines rénovations sont plus performantes que d'autres, et ces différences doivent être mesurées et valorisées. Il est crucial de passer de l’évaluation basée sur des engagements de moyens à la mesure des résultats et des performances. Une échelle de notation compatible avec les trajectoires du Décret Eco Energie Tertiaire ou de la taxinomie européenne est nécessaire.
Il n’existe pas de critère unique pour toutes les rénovations. Une rénovation doit intégrer l'économie d'énergie, le bas carbone, l'économie circulaire, la biodiversité, l'adaptation au changement climatique, et la qualité de vie au travail. L'adaptation au changement climatique, par exemple, est essentielle face aux événements climatiques visibles comme les inondations et les canicules.
Devant l’urgence de la transition écologique, il est temps de promouvoir des rénovations efficaces, globales et dont les résultats sont attestés par un tiers de confiance. Une rénovation performante doit satisfaire un ensemble d'exigences avec une approche globale incluant la santé et le confort des utilisateurs.
Il n’existe pas de critère unique pour toutes les rénovations. Une rénovation doit intégrer l'économie d'énergie, le bas carbone, l'économie circulaire, la biodiversité, l'adaptation au changement climatique, et la qualité de vie au travail. L'adaptation au changement climatique, par exemple, est essentielle face aux événements climatiques visibles comme les inondations et les canicules.
